L’innovation Made in Corrèze

La valorisation d’un territoire

Véritables pivots dans l’implantation et le développement des énergies renouvelables, les collectivités, quelle que soit leur taille ou leur localisation, jouent, bien souvent un rôle précurseur auprès de leurs administrés.

Entre audace et économies, vous, élus, êtes régulièrement sollicités, pour la mise en œuvre de solutions plus ou moins innovantes dans vos territoires.

Si les économies financières sont au cœur de nombreuses stratégies, la préservation de vos territoires, le bien vivre ensemble, et la préservation des espaces naturels régissent nombre de vos actions.

Bien que tenu par des obligations légales, morales ou pécuniaires, aucun élu ne peut, aujourd’hui faire l’économie d’un mix énergétique aussi compétitif que qualitatif.

De l’installation de fermes photovoltaïques qui impactent directement les réserves foncières, en passant par les réseaux de chaleur bois ou biomasse dont l’énergie produite résulte directement d’une combustion, les solutions parfaites semblent complexes à mettre en œuvre.

Cependant, il existe une solution, peu encombrante, un système peu encombrant, autonome et 100% écologique : le solaire thermique.

Bien qu’il existe depuis de très nombreuses années, le solaire thermique, ne présentait, jusqu’alors qu’un rendement de l’ordre de 30%.

Grâce à une technologie brevetée, 100% française, labellisée Origine Corrèze, fruit de dix années de recherche et de développement, in situ en non en laboratoire, la technologie Heliore® vient révolutionner l’utilisation du solaire thermique.

Cette invention, signée Thierry Steclebout, diffusée et commercialisée par Solar Impact, permet de passer le rendement des capteurs solaires thermiques de 30% à plus de 90% pour la production de chaleur et d’eau chaude sanitaire.

D’autre part, grâce à la manière ingénieuse de mise en œuvre de l’ensemble de l’installation solaire, Heliore® offre un rendement optimal au cœur de l’hiver lorsque les besoins de chaleur sont les plus importants. Durant la période estivale, Heliore® permet de produire suffisamment d’énergie pour ne jamais manquer d’eau chaude.

D’autre part, et grâce à leur mise en œuvre audacieuse et au séquenceur thermique Heliore®, l’installation fonctionne, été comme hiver, sans antigel (glycol extrêmement polluant) et sans le moindre risque ni de gel, ni d’emballement thermique.

La loi sur les énergies renouvelables

La loi d’accélération de la production des énergies renouvelables replace les élus au cœur d’un processus décisionnel jusqu’alors long et complexe.

En allégeant les temps de traitement et d’instruction du déploiement et de l’usage de ces énergies renouvelables au cœur de nos territoires, les pouvoirs publics donnent plus de pouvoir aux élus qui redeviennent ainsi acteurs de la transition énergétique au plus près de leurs administrés et d’un « bon sens » qui a souvent fait défaut.

Cette loi, promulguée en début d’année s’articule autour de quatre axes principaux :

  • La planification en remettant les territoires et les collectivités au centre des décisions et en donnant des leviers d’action aux élus locaux.
  • La simplification pour lever les lourdeurs administratives et améliorer la sécurité juridique des projets, sans renoncer à nos exigences environnementales.
  • La mobilisation des terrains déjà artificialisés ou sans enjeux environnementaux majeurs pour déployer les énergies renouvelables et ainsi préserver les terrains non artificialisés. Grâce à cette loi, l’équivalent de plusieurs dizaines de gigawatts en foncier déjà artificialisé pourront être libérés.
  • Le partage et la redistribution de la valeur générée par les énergies renouvelables, qui sont de plus en plus compétitives, pour soutenir des projets locaux et de protection de la biodiversité.

Cette loi a également pour objectif de :

  • Préserver le pouvoir d’achat des Français
  • Préserver la compétitivité de nos entreprises
  • Défendre l’indépendance industrielle, énergétique et politique de notre pays
  • De lutter contre le dérèglement climatique pour l’avenir de nos enfants.

Cette loi reconnaît la raison impérative d’intérêt public majeur pour les projets d’énergies renouvelables. Il en résulte une portée qui va bien au-delà des notions purement symboliques, compte tenu de l’importance des énergies renouvelables pour notre sécurité d’approvisionnement et notre capacité à atteindre la neutralité carbone d’ici les échéances de 2035 et de 2050 imposées par Bruxelles.

Le poids des énergies pour les collectivités

Selon l’enquête Énergie et patrimoine communal menée par l’ADEME en 2017, il apparaît que l’énergie communale représente un budget de 57€/habitant pour une dépense annuelle de 432 kWh, toujours par habitant. On apprend également dans cette enquête que ces même dépenses énergétiques sont deux fois moins élevées dans les DOM.

Cette enquête met aussi en évidence le fait que pour la seule année 2017, «les consommations d’énergie des collectivités locales s’élèvent à près de 39,7 TWh pour un coût total de 3,86 milliards d’euros. » 

Si l’ensemble des communes et des élus attachent une grande importance à la chasse aux gaspillages d’énergies avec par exemple l’extinction de l’éclairage public nocturne, la mise en concurrence des fournisseurs d’énergies…, il n’en demeure pas moins vrai que le patrimoine bâti représente, à lui seul, en métropole 80% de la consommation énergétique des collectivités pour « seulement » 50% dans les territoires ultramarins. La consommation énergétique des bâtiments publics français en 2017 a représenté 25,98 Twh, soit 78% de la consommation énergétique des collectivités pour un budget global de 2,2 Mds€, soit une hausse de +13% depuis 2012.

On apprend également dans cette étude que ce sont le gaz naturel et l’électricité qui sont les deux principaux vecteurs de ces consommations pour assurer en premier lieu le chauffage et l’assainissement de l’humidité des bâtiments et l’électricité.

La conclusion de cette enquête de l’ADEME concernant le poids des énergies dans les collectivités, les prés de 40 TWh consommés par an par ces collectivités se répartit de la manière suivante :

  • 75% liés aux bâtiments
  • 11% à l’éclairage public
  • 8% à la gestion des déchets et de l’eau
  • 6% aux carburants

Le solaire Thermique selon Heliore®

Si chacun d’entre vous connaît le photovoltaïque et sa production électrique, soit en termes de revente, soit en terme d’autoconsommation, peu en revanche connaissent le solaire thermique.

Le principe des capteurs solaires à caloduc n’est pas nouveau. Dès les années 70′ le président Jimmy Carter en avait fait installer sur le toit de la Maison Blanche à Washington. A l’ère du « tout pétrole », son successeur, Ronald Reagan, ne voyant pas l’intérêt des énergies renouvelables, les avait fait enlever.

Après quelques tentatives d’implantations sur le territoire français au début des années 2000, les résultats peu probants inhérents à de mauvaises orientations et à un manque flagrant de connaissances et donc de possibilités d’entretien avaient, croyait-on, définitivement scellé le sort du solaire thermique en France, mais également en Europe.

C’était cependant sans compter sur la ténacité et l’expertise technique d’un homme, un français, Thierry Steclebout.

Outre le fait de disposer les capteurs de manière audacieuse (sous la forme de tours solaires avec un encombrement minime de l’ordre de 1 à 30m² selon le dimensionnement nécessaire et pouvant produire jusqu’à 1 MWh), son séquenceur hydraulique permet de passer le rendement des capteurs de 30% à plus de 90%.

Fonctionnant à l’eau claire, l’installation ne présente, dans sa conception et dans son utilisation, aucun risque de pollution de l’air, de l’eau ou des sols.

Un COP de 1 000

Aujourd’hui on mesure la performance d’un appareil qui produit de la chaleur en fonction de son COP. Autrement dit, le COP, est le coefficient de performances qui peut être assimilé au rendement. Il mesure l’efficacité énergétique de l’appareil et s’exprime sans unité. Il est calculé par le ratio entre l’énergie produite et l’énergie utilisée.

Tandis que les pompes à chaleur les plus performantes et les moins énergivores développent un COP de 5 à 7 (produisent donc 5 à 7 fois l’énergie dont elles ont besoin pour fonctionner), le système de solaire thermique et le séquenceur hydraulique développés par Heliore®, développent, pour sa part un COP de 1 000. Cela signifie que le système produit 1 000 fois d’énergie qu’il n’en consomme.

Les capteurs solaires thermiques ont une puissance de l’ordre de 850 W/m². L’énergie solaire captée par les tubes sous vide est captée dès la première minute d’ensoleillement.

Thierry STECLEBOUT

Grégory ESNAULT

Solar Impact

Une aventure Humaine

Solar Impact est née de la rencontre de deux personnages atypiques:

Grégory ESNAULT, jeune entrepreneur audacieux en quête de sens pour lui et pour l’avenir de sa famille dans une société plus sereine, avec une ambition environnementale plus propice au bien-être.

Thierry STECLEBOUT, inventeur indépendant qui a passé dix années à créer et développer un séquenceur thermique qui permet d’optimiser le solaire thermique pour passer ses performances de 30% à 90%. Une prouesse technologique saluée par ses pairs, le séquenceur thermique HELIORE®